Une femme de 38 ans a été sauvagement attaquée à l’arme contondante par son supérieur, dans les murs même de la mercerie où elle travaillait depuis des années.
L’agression s’est produite à l’ouverture du magasin, alors que la victime pensait se retrouver seule pour entamer sa journée. Dans un silence pesant, l’homme de 57 ans l’attendait déjà, tapi dans l’ombre. Armé d’un marteau, il l’a frappée à plusieurs reprises, ciblant principalement sa tête. Le choc a été foudroyant. La femme s’est effondrée au sol, le visage en sang, sous les coups d’une violence insoutenable.
Les secours sont rapidement intervenus. La victime, en état de choc, a été transportée d’urgence à l’hôpital. Son pronostic vital n’est pas engagé mais les blessures sont graves. Elle souffre de traumatismes importants à la tête, nécessitant des soins médicaux et un suivi psychologique.
L’auteur présumé des faits a été interpellé peu après. Confronté aux preuves et aux témoignages, il a fini par avouer. Les raisons de son geste restent floues. Un différend personnel est évoqué, mais le mobile exact demeure inconnu à ce stade. L’enquête, confiée à la police judiciaire, s’oriente vers une tentative de meurtre.
Dans la mercerie, c’est l’effroi. Le personnel, les clients, tout un quartier tente de comprendre l’inconcevable. Les rideaux sont tirés, les voix se font basses. Un lieu paisible, dédié aux loisirs créatifs, est devenu le théâtre d’un acte de barbarie.
La ville est sous le choc. Un commerce de quartier, une femme sans histoires, un supérieur respecté en apparence. Et pourtant. Une scène de violence extrême, en pleine ouverture, dans un cadre familier. Un réveil brutal pour une communauté qui cherche encore des réponses.
0 Comments