À peine quelques jours après la mise en place de lourds droits de douane par le président Donald Trump, Elon Musk a pris tout le monde de court en appelant à l’exact opposé. Lors d’un échange inattendu avec le vice-premier ministre italien Matteo Salvini, le milliardaire a plaidé pour l’instauration d’une véritable zone de libre-échange entre l’Europe et l’Amérique du Nord, affirmant qu’il devrait exister “effectivement” un espace à “zéro tarif”.
L’intervention de Musk, rapportée par Bloomberg, ne s’est pas arrêtée là. Dans une série de messages postés sur X en pleine nuit, le patron de Tesla et SpaceX a ouvertement critiqué Peter Navarro, conseiller commercial de la Maison-Blanche et fervent défenseur d’une approche protectionniste extrême. Les mots étaient durs, tranchants, révélant un fossé grandissant entre l’industrie technologique et les architectes du commerce sous Trump.
À l’heure où les prix grimpent et que les tensions économiques s’exacerbent, Musk se positionne, une fois de plus, comme un acteur provocateur sur la scène mondiale, prônant l’ouverture là où d’autres érigent des barrières.
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