Dans les rues tranquilles d’Agen et de Le Passage, dans le Lot-et-Garonne, un frisson d’horreur a parcouru la communauté cette semaine. Mardi 2 septembre 2025, une adolescente de 15 ans a échappé de justesse à une tentative d’enlèvement à Le Passage. Deux jours plus tard, jeudi, une autre jeune fille du même âge, quittant son lycée à Agen, a vécu une terreur similaire. À l’origine de ces actes glaçants : un septuagénaire, déjà connu pour agression sexuelle, qui rôde avec une audace terrifiante.
Jeudi, alors que la seconde victime marchait, une voiture s’est arrêtée à sa hauteur. Le conducteur, un homme de 70 ans, a tenté de la convaincre de monter, prétextant un ordre de son père. Mais l’adolescente, méfiante, a pris ses jambes à son cou, notant au passage un détail crucial : la plaque d’immatriculation. Ce réflexe a permis aux enquêteurs de remonter jusqu’au suspect, un homme au passé judiciaire trouble, marqué par des antécédents d’agression sexuelle.
Interpellé vendredi, le septuagénaire est actuellement sous surveillance à l’hôpital psychiatrique, son état mental étant évalué. Une perquisition à son domicile a révélé un ordinateur, désormais entre les mains des autorités pour analyse. Que cachent ses fichiers ? Quelles étaient ses véritables intentions ? Les questions s’accumulent, tandis qu’Agen retient son souffle, hantée par la menace d’un prédateur qui a frappé à deux reprises en quelques jours.
Les familles des victimes, bouleversées, s’interrogent : comment un tel individu a-t-il pu agir à nouveau ? La justice, confrontée à ce multirécidiviste, devra répondre. Pour l’heure, la peur plane sur la ville, et la vigilance est de mise. Ce cauchemar doit-il se répéter avant que la vérité éclate ?
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