Connaux. Une pharmacienne retrouvée poignardée dans sa propriété. L’enquête s’oriente vers un homicide volontaire
Un drame terrible vient de frapper en silence un petit coin du Gard. Une femme, pharmacienne dans la commune de Tresques, a été retrouvée morte, poignardée à plusieurs reprises, dans sa maison à Connaux. Le choc est immense. Et l’émotion, profonde.
C’est dans la matinée que tout s’est effondré. Le corps de la victime gisait dans sa propre propriété, sans vie, maculé de sang. Une femme d’une cinquantaine d’années. Respectée. Connue. Aimée de ses patients. La brutalité de l’acte laisse sans voix. Plusieurs coups de couteau. Des traces de violences. Une scène qui glace. Une scène qui ne devrait jamais exister.
Connaux. Cette commune paisible, entre Uzès et Bagnols-sur-Cèze, est aujourd’hui figée. Les habitants sont bouleversés. Les gendarmes de Laudun l’Ardoise, épaulés par ceux de la compagnie de Bagnols-sur-Cèze et la section de recherches de Nîmes, ont immédiatement ouvert une enquête pour homicide volontaire. Le parquet de Nîmes s’est rendu sur place. Les mots de la procureure ne laissent pas de place au doute : les circonstances restent floues, mais la piste criminelle est clairement envisagée.
Une personne a été placée en garde à vue. Elle est entendue depuis jeudi. Et ce vendredi, la mesure a été prolongée. L’identité du ou de la suspect(e) n’a pas été dévoilée. L’enquête avance. Lentement. Mais avec gravité.
Aujourd’hui, une femme a perdu la vie. Dans la violence. Dans l’horreur. Et une communauté entière pleure une figure familière, arrachée trop tôt, trop brutalement.
La justice devra dire pourquoi. Et surtout… par qui.
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